Des fois c’est la loose, des fois ça marche pas…
Des fois c’est la loose, des fois ça marche pas.
Des fois les autres pensent que… et en fait pas du tout.
Des fois on fait genre, des fois on fait de notre mieux, des fois c’est vraiment relou et des fois c’est pour le mieux…
Dans Bérézina on parle de contre success story, d’histoires semées d’embûches, avec des gens qui nous racontent que parfois, ça veut pas.
L’échec nous avons toutes et tous ça en commun, parce qu’il est gourmand l’échec, il mord tout le monde, en public parfois, aux yeux des autres et plus secrètement souvent, comme une blessure cachée, un trébuchement honteux.
Bérézina, c’est un temps pour délier les bandages et laisser enfin parler les moins bien, les presque réussi, les jamais assez.
Bérézina, c’est un temps pour délier les bandages et laisser enfin parler les moins bien, les presque réussi, les jamais assez.